V'là un texte qui explique le nationalisme.. Ca fait un peu propagande, mais au delà de ça, jveux votre opinion
LE NATIONALISME
A la fin du XVIIIème siècle, un ensemble très ancien de conventions sociales disparu: de l'effondrement de cette société sont sortis le libéralisme et le communisme, ces inséparables frères ennemis. Après l'échec total du communisme à l'Est, la démocratie libérale, à son tour, agonise faute d'avoir su créer une société nouvelle sur des bases naturelles. Aujourd'hui, il ne reste qu'un embryon de société où la matière a tué l'esprit, où le désordre a chassé la civilisation, ou le plaisir a annihilé tout élan collectif, où l'hypocrisie et le cynisme ont remplacé la franchise et la vérité.
Face à la désintégration irrémédiable du système, la solution est dans une refonte totale de la société et dans l'application de la doctrine nationaliste
L'HOMME DANS LA NATION
L'homme n'est pas cet individu anonyme qui, selon la conception démocratique, abdique sa personnalité et sa valeur devant l'injuste loi égalitaire, pour se limiter à un simple rôle de producteur et de consommateur.
Il n'est pas, non plus, cette machine un peu plus perfectionnée que les autres qui, selon la conception marxiste, est motivée par des forces économiques et ballottée par un "sens de l'histoire" dont il ne serait pas maître.
L'homme ne prend sa signification qu'au sein d'un ensemble de communauté naturelles : la Famille qui l'élève, le Travail qui le nourrit et la Nation qui le protège. Il prend place dans une chaîne historique dont il est un maillon. D'autres hommes qui l'ont précédé lui lèguent au jour de sa naissance puis par son éducation, un héritage à défendre, si possible, à améliorer et qu'à son tour, il transmettra à ceux qui le suivent.
Il forge son destin en se rendant d'abord maître de lui-même. Ensuite il trouve place dans cette hiérarchie naturelle des valeurs par sa compétances et ses mérites. La volonté et le savoir de l'homme le rendent maître des forces matérielles, maître de l'économie, maître des situations qu'il peut transformer
LA REALITE NATIONALE
Un ensemble de connaissances observées depuis l'origine de l'espèce humaine donne l'explication complète d'un certain nombre de faits et permet de trouver les solutions les mieux adaptées aux besoins permanents d'un Etat particulier ou d'un type d'individu, différent par nature.
Il ne s'agit pas de découvrir des vérités nouvelles, mais de parvenir à utiliser des vérités bien établies pour répondre aux questions d'actualité. Les vérités premières et les positions politiques qui en découlent ne dépendent pas du contexte psychologique ou économique, qui change d'un siècle à l'autre, voire d'une décennie à l'autre.
Ces vérités tiennent leur origine de la nature humaine et des obligations immuables de la vie en société. Les circonstances changent et en même temps s'ajoutent les difficultés supplémentaires crées par elles; mais les vérités premières demeurent seules capables d'apporter la meilleures solution aux interrogations qui se posent à différentes époques, dans des situations nouvelles.
Le nationalisme n'est pas une construction intellectuelle. Ce n'est pas un idéologie ou une utopie et encore moins un église que l'on constitue. Le nationalisme, c'est la compréhension des règles qui ont permis à notre nation de se constituer et dont l'oubli ou la négation entraînent la décadence et la désagrégation. En conséquence, un nationaliste est un homme activement engagé dans la lutte pour la défense et l'illustration de sa nation.
L'ETHIQUE NATIONALISTE
Plus qu'une politique, le nationalisme est une poésie, une espérance que l'on ne peut rejeter au risque d'un dessèchement ou d'une négation de l'âme. Il est aussi un style de vie, une éthique. Face au désordre général qui règne aujourd'hui dans tous les domaines, le nationalisme restaure les valeurs indispensables à une bonne hygiène de vie.
Pour s'y retrouver, la règle générale consiste à donner constamment la priorité au national sur l'étranger; aux principes sur les princes; aux idées sur les individus; à la sélection sur l'élection; à la politique sur l'économique; au talent sur l'argent; à l'ordre sur le changement; à la réflexion sur le réflexe; à la qualité sur la quantité; à la beauté sur l'utilité.
EN RESUME
L'homme ne prend sa signification qu'au sein d'un ensemble de communautés naturelles : la Famille qui l'élève, le Travail qui le nourrit, la Patrie qui le protège.
Il s'inscrit dans une chaîne historique dont il est un maillon. A sa naissance, il hérite de ses ancêtres, d'un patrimoine à défendre et à améliorer, puis qu'à son tour il a à transmettre.
Le nationalisme est l'expression politique, conséquente et nécessaire, du patriotisme. Il procède de la connaissance des règles de vie en commun, qui ont permis à la France d'être et de durer, et dont l'oubli ou la négation entraîne sa déchéance.
Il se fonde sur un ensemble doctrinal possédant comme référence l'esprit de la remise en ordre de l'Etat à l'époque cu Consulat par Bonaparte, la mystique du territoire prônée par Barrès, l'empirisme organisateur de Maurras, les nouveaux aperçus sociologiques révélés notamment par Drumont, Carrel, Coston, Bardèche.
Il se résume dans une phrase de douze mots :
Le nationalisme, c'est de résoudre chaque question
par rapport à la France
LA NATION
La nation est menacée dans son existence même par l'application du traité de Maëstricht et la constitution de l'Union européenne, cheval de Troie du mondialisme. On nous présente l'effacement des nations, devant l'avènement de la mondialisation, comme étant quelque chose d'inéluctable, répondant à un "sens de l'histoire".
Hier ce sens de l'histoire était communiste, aujourd'hui il serait mondialiste. Or si l'on s'en tient à une observation stricte des événements, il semblerait plutôt que l'on assiste à une remise en cause des grands ensembles.
Toujours dénoncée et combattue la dernière moitié du XXème siècle, la nation est au-dessus de tout échaffaudage idéologique. Elle est établie, défendue, maintenue, perdue, retrouvée, rétablie par des engagements plus spontanés que définis intellectuellement. Une nation, la nation, n'est pas théorique, c'est une réalité. Les nationalistes trouvent dans l'histoire de la nation un guide nécessaire irremplaçable.
LA PATRIE
La Patrie, c'est la France telle que l'on fait nos pères. "Ce sont des champs, des murs, des tours et des maisons; ce sont des autels et des tombeaux; ce sont des hommes vivant, père, mère, et frères, des enfants qui jouent aux jardins, des paysans qui font du blé, des jardiniers qui font des roses, des marchands, des artisans, des ouvriers, des soldats, il n'y a rien au monde de plus concret."
La Patrie, c'est la terre et les morts, c'est le sol.
LA NATION
La nation n'est pas une "certaine idée" chère à nos intellectuels, qui se donnent ainsi le droit de s'en séparer lorsque l'idée qu'ils s'en font n'est plus conforme à réalité. Ce n'est pas un contrat, encore moins un mythe : c'est un corps vivant, ordonné, hiérarchiquement construit.
La nation est fondée sur les réalités d'un territoire et d'une ethnie particulière, forgée par des siècles d'histoire et par un Etat sans lequel elle n'existerait pas. La nation est la réalisation commune d'un destin particulier.
De toutes les communautés naturelles existantes, comme la famille ou le travail, la nation en est la plus vaste. Au delà de l'unité géographique, raciale et linguistique, la nation correspond à une unité de destin historique. C'est un sol, un peuple, une langue et une civilisation, polis par le vent de l'histoire. Ce n'est pas un contrat qui élèvent un groupe d'homme au rang de nation, c'est le passé vécu ensemble et la certitude de vivre un avenir en commun.
La nation, c'est l'histoire
L'ETAT
L'Etat n'est pas une machine adminsitrative ni un organisme de gestion ou un arbitre entre intérêts particuliers. L'Etat est la nation organisée pour l'accomplissement de sa destinée.
Il doit établir l'unité de la nation, une unité politique en excluant la division en partis politiques multiples, une unité sociale aussi en abolisant la lutte entre classes sociales, en supprimant toute technocratie capitaliste, en éliminant le marxisme.
L'Etat est fondé sur le droit de la nation, il est au service de la antion dont il unit toutes les activités et toutes les forces vives.
Indépendant à l'intérieur comme à l'extérieur des frontières, l'Etat c'est la souveraineté.
EN RESUME
Le culte de la patrie, c'est le respect de la terre des pères, la terre et les morts; le culte de la nation c'est la religion de leur sang.
La nation n'est pas une théorie, c'est la réalité. Ce n'est pas un contrat encore moins un mythe. Elle est au-dessus de tout échafaudage idéologique.
La nation est fondée sur les réalités d'un territoire et d'une ethnie particulière, forgée par des siècles d'histoire et par un Etat sans lequel elle n'existerait pas.
La nation est une réalisation commune d'un destin particulier
L'Etat n'est pas une machine administrative ni un organisme de gestion. Garant de l'unité nationale, fondé sur le droit de la nation, l'Etat est la nation organisée pour l'accomplissement de sa destinée.
La patrie, c'est le sol; la nation, c'est l'histoire; l'Etat, c'est la souveraineté.
LES REGIONS, LA FRANCE, L'EUROPE
Menacé par le retour en force des nationalistes depuis l'effondrement du bloc communiste à l'Est, les mondialistes abordent, avec le Traité de Maëstricht-Amsterdam, la phase terminale d'un processus engagé depuis 1945 :
Suppression des frontières, déréglementations générales pour faciliter les échanges économiques, dissolution de l'armée dans un ensemble supranational, privatisation des biens et entreprises appartenant à la collectivité, libéralisation des services publics et disparation des monnaies nationales.
Face à ce déferlement, les nationalistes n'ont jamais été dupes; sentinelles de la nation, ils ont toujours rejeté et combattu le processus qui tendait à la diluer ou à la faire disparaître. En effet, l'histoire enseigne qu'il faut rester circonspects face aux mythes unificateurs religieux, politiques ou philosophiques. Les grands ensembles ne se constituent que par la force et que faute d'en être le créateur et le bénéficiaire, on ne peut en être que la victime. Le retour de la nation est la seule alternative à l'Union européenne, cheval de Troie du mondialisme.
LES REGIONS
Il faut être respectueux des réalités humaines et des particularités ancestrales en accordant toute leur importance aux régions et aux populatios qui compoàsent la France. Pour cela, il convient de supprimer les départements et les régions actuels, pour créer à la place une nouvelle unité administrative, servant de cradre unique à tous les services publics et dont la direction effective doit être confiée à un gouverneur, serviteur de l'Etat.
Dans le cadre national, le régionalisme est naturel car il enracine l'individu dans sa terre et sur son sol, mais le séparatisme est pernicieux car il le coupe de toute transcendance et de son domaine naturel d'expression, la patrie. Aujourd'hui, le régionalisme décentralisateur n'est qu'un prétexte avoué pour saper la communauté historique nationale et faire éclater l'Etat-Nation au profit de Bruxelle et du mondialisme.
LA FRANCE
La France est un Etat national constitué dans l'universalité du genre humain comme un résumé sans analogie du génie européen, au cours de l'histoire incomparable de la famille capétienne incarnant la pérénité d'un destin commun à tous les éléments du peuple de France
La France c'est un sol, un sang, un destin
Un sol : une situation géographique exeptionnelle, un espace d'un demi-million de kilomètres carrés, situé de la mer du Nord à la Méditerranée et de l'Océan Atlantique aux Alpes;
Un sang: un composé ethnique équilibré, résultat de l'assimilation de milliards d'indo-européens.
Un destin : un passé plus que millénaire, vécu en commun, a forgé la civilisation française dont l'élément le plus visible est la langue. Ce n'est pas un contrat ou des valeurs communes qui unissent les hommes jusqu'au rang de nation, c'est passé vécu ensemble et la certitude de vivre un avenir commun.
L'EUROPE
A mesure que se construit l'Union européenne, nos peuples sont ruinés, envahit et asservis. Les identités nationales qui ont tant contribué à créer ce qu'on a appelé la civilisation s'effacent dans un processus d'uniformisation mondialiste qui annonce la barbarie et son cortège d'horreurs.
La France est la plus européenne des nations d'Europe. Son nom est germanique; sa langue latine; le fond de son peuple celte; son sens de l'Etat romain; sa rigueur intellectuel et artistique grecque ancienne. C'est la seule qui accède directement à la mer du Nord, à l'océan Atlantique, à la Méditerannée; et dont les provinces frontières peuvent servir d'intermédiaires par leur parler et leur peuplement.
Il y a un continent européen, une race européenne qui s'est implantée au-delà même des océans, un génie européen.
Mais l'Union européenne, l'Europe fédérale de Bruxelle n'est pas l'Europe, c'est le cheval de Troie du mondialisme.
EN RESUME
La France n'est pas le résultat d'un contrat ou d'une union d'homme autour de valeurs communes, c'est un Etat national constitué dans l'universalité du genre humain.
C'est un sol - une situation géographique exeptionnelle - un sang - un peuple du continent européen - et un destin - un passé et la certitude d'un avenir vécu en commun.
La France est la plus européenne des nations d'Europe. Son nom est germanique; sa langue latine; le fond de son peuple celte; son sens de l'Etat romain; sa rigueur intellectuelle et artistique grecque ancienne.
Elle est aussi d'addition de ses régions qui enracinent l'individu dans sa terre et sur son sol.
Mais le régionalisme décentralisateur n'est qu'un prétexte pour faire éclater l'Etat-Nation au profit de l'Europe de Bruxelle, cheval de Troie du mondialisme.
_________________ Je suis une saucisseuh.
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